L’usine de Saint-Ouen (banlieue parisienne) entre en activité lorsque Citroën adopte la première carrosserie «tout acier» pour la B12. Spécialisée dans l’emboutissage à froid de petites pièces en grande série, l’usine est équipée de 250 presses dont certaines d’une puissance de 1400 tonnes.
A la fin de l’année, l’usine des Epinettes, annexe de Saint-Ouen, est mise en service pour la fabrication et le traitement des ressorts.
André Citroën, convaincu de la vocation mondiale de l’automobile, pose les bases d’un réseau international de sociétés commerciales à Bruxelles, Amsterdam, Cologne, Milan, Genève et Copenhague.
17.000 voitures sont exportées en 1924.
André Citroën renouvelle le parc des taxis parisiens, et crée un réseau de transports rapides inter ville par autocars.
La Société Anonyme Automobiles Citroën au capital de 100 millions de francs, est créée pour la fabrication de véhicules automobiles.
Cadence de production : 300 voitures par jour. Production annuelle : 55.387 véhicules.