1954 citroen 23 plateforme

1954 Citroën Gamme Utilitaire

Le 02/01/1954 0

Dans Citroën à collectionner

Du petit utilitaire Type H au poids lourd T45, en passant par le U23 lancé en 1935, qui mène sa carrière en parallèle à celle de la Traction. Le U23 a été redessiné en 1953 façon camion américain.  Il vivra ainsi jusqu'en 1967  avant son remplacement par le "Belphegor".

1954 Citroën Type H ou HZ Plateau-cabine 850 et 1200 Kg

FICHE TECHNIQUE
Poids total en charge : Plateau H : 2.700 kg - Plateau HZ : 2.300 kg.
Charge utile : Plateau H : l.2OO kg - Plateau HZ : 850 kg.
Poids à vide en ordre de marche : Plateau H : l.450 kg - Plateau HZ : 1,40O kg.
Pneumatiques : Plateau H 5 pneus 19 x 400. Pressions : AV et AR 2,750 Kg
Plateau HZ 5 pneus 17 x 400. Pressions : AV et AR 2,750 Kg

1954 Citroën type H plateau

CITROËN Type 23 PLATEFORME A RIDELLES BACHÉE ET NON BACHÊE

CARROSSERIE :
Plateforme à ridelles : cabine conduite intérieure en tôle d'acier emboutie. Deux portes latérales. Pare-brise ouvrant. Toutes glaces en « Securit ». Essuie-glace électrique. Caisse entièrement en bois. Hayon arrière rabattable et amovible avec marchepied repliable.
Plateforme à ridelles bâchée : bâchage constitué par 5 arceaux métalliques emboîtés dans les ranchers. Bâche amovible en toile imperméable, avec rideaux de côté et arrière relevables.
Le “ 23 “ Citroën peut également être livré en :
Châssis nu: longueur carrossable : 4 m 19.
Châssis cabine : longueur disponible derrière cabine : 8 m 01.

Doc commerciale citroen 23 1955

1954 Camion Citroën Type 23

La suspension élastique de la cabine en trois points donne plus de confort au conducteur et moins de fatigue.

La carrosserie : En outre, la cabine est éclairée, ventilée par deux volets d'auvent et deux déflecteurs réglables. Pare-brise à deux baies fixes en coupe-vent. Glaces " Visurit " Tapis feutre enduit de matière plastique. Siège et dossier en similicuir. Pare-soleil orientable, tablette en dessous du pare-brise, vide-poches.
La réputation du " 23 " Citroën n'est plus à faire. Il possède au plus haut point les qualités maîtresses de toutes les fabrications Citroën.
Son châssis aussi bien que son moteur peuvent assurer sans défaillance de très durs services.
Économie à l'achat comme à l'utilisation. Faible puissance fiscale: 9 ch.
Réparations peu fréquentes et faciles; Pièces détachées partout et pas chères.

 

1954 Citroën 23 plateforme

Le fourgon CITROËN Type 23

Moteur : 4 cylindres à soupapes en tête.
Puissance fiscale 9 ch. Carburateur inversé
Boîte 4 vitesses dont 3ème et 4ème synchronisées.
Pont AR banjo, couple conique à denture spirale.
Suspension : 4 ressorts semi-elliptiques
Freins hydrauliques sur les 4 roues
Batterie 6 volts, 90 Ah.
Capacité du réservoir d`essence : 70 litres
Pneus l60 x 20 jumelés à l'AR.
Vitesse maximum : 75 à 80 km/h.

1954 Citroën type 23 fourgon

CITROËN Type 45 PLATEFORME A RIDELLES BACHÉE ET NON BACHÉE

CARROSSERIE :
Plateforme à ridelles : cabine conduite intérieure en tôle d'acier emboutie. Deux portes latérales. Pare-brise ouvrant. Toutes glaces en « Securit ». Essuie-glace électrique. Caisse entièrement en bois. Hayon arrière rabattable et amovible avec marchepied repliable.
Plateforme à ridelles bâchée : bâchage constitué par 5 arceaux métalliques emboîtés dans les ranchers. Bâche amovible en toile imperméable, avec rideaux de côté et arrière relevables.
Le “ 45 " long Citroën peut également être livré en :
Châssis nu : longueur carrossable : 5 m 47.
Châssis cabine: longueur disponible derrière cabine : 4 m 29.

Doc commerciale citroen 45 long 1955

CITROËN Type 45 long à moteur diesel

CHASSIS : Moteur diesel 6 cylindres 94 x 110, cylindrée 4,580 L, puissance effective 76 cv à 2.500 tours-minute, puissance fiscale 12 cv. Cylindres avec chemises en fonte spéciale emmanchées à force. Soupapes en tête. Alimentation par pompe d'injection. Boîte de vitesses à 4 vitesses et une marche arrière; les 3ème et 4ème sont synchronisées et à denture silencieuse.
Pont AR type banjo avec couple conique, à denture spirale Gleason. Démultiplication 6 x 41.
Suspension par 4 ressorts semi-elliptiques.
FREINS : au pied, hydraulique sur les 4 roues, avec servo-frein alimenté par un réservoir à dépression et pompe à vide;
Frein à main, sur la transmission par disque ventilé et mâchoires extérieures.
Roues et pneus 230  x 20, jumelés à l'arrière. Réservoir de gas-oil sur le côté droit du châssis : contenance 100 L.
Installation électrique, tension 12 v ; 2 batteries de 150 Ath, 6 volts.

Doc moteur citroen T45 long diesel 1955

1931 - 1977 Les autocars des Transports Citroën

1931 - 1977 Les autocars des Transports Citroën

Le 01/01/1931

La création des Transports Citroën

André CITROEN, premier constructeur européen d’automobiles, lance sa division poids-lourds en octobre 1926 avec la B15 qui offre pour la première fois une charge utile de 1000 kg.
Puis pour le déplacement de passagers, André Citroën crée les Transports Citroën le 27 octobre 1931 .
PauI JOSEPH prend sa direction et va développer  ses  propres réseaux (28 sur toute la France) dont le principal est celui de Paris. Installé en août 1932, il comptait près de 300 voitures, 58 lignes, dont 8 grandes…

1924 1926 Les Citroën B10 et B12 Tout Acier

1924 - 1926 Les Citroën B10 et B12 "Tout Acier"

Le 01/01/1924

En octobre 1924, au salon de Paris, Javel est à I'heure du “tout-acier". Citroën joue la carte du progrès technologique et présente ses premières carrosseries «Tout acier» sur des châssis B 2, qui prend pour la circonstance la désignation de B 10. Leur carrosserie entièrement métallique était faite de quatre éléments emboutis à froid assemblés par soudure.
Livrable sous la forme de torpédo ou de conduite intérieure, la Tout Acier offrait en cas de choc une grande résistance.

La “Tout acier” était robuste, facile à utiliser et offrait un maximum de confort. Grâce à elle, Citroën popularise la conduite intérieure (en 1919, 80 % des voitures particulières étaient ouvertes ; en 1930, grâce à ce nouveau type de construction, 90 % d'entre elles étaient fermées). La conduite intérieure détrône le torpédo.

A partir de la B 10, toutes les Citroën seront des tout-acier. 

Elle servit de transition entre la «B 2» et les «B 12›› et sa production atteignit en 1926 le chiffre de 100 véhicules par Jour.

D’octobre 1924 à décembre 1925, 17 259 exemplaires de B 10 furent fabriqués.

1922 - 1926 Citroën 5CV type C

1922 - 1926 Citroën 5CV type C

Le 01/02/1922

La type A puis la B 2 étaient des voitures à 4 places correspondant à la fois aux besoins et aux moyens de la plupart des automobilistes français de l'époque.

Mais André Citroën pensait à la clientèle au budget limité et aux débutants dans la conduite dont les femmes et les jeunes. Ainsi naquit, en 1922, la 5 CV.

1922 - 1923 Citroën B2

1922 - 1923 Citroën B2 "Caddy"

Le 01/01/1922

En 1913, Le carrossier Henri Labourdette, 35 avenue des Champs Elysées, déposait son brevet SGDG de skif-torpédo à ailes en hélice, mariage des technologies nautique et automobile. Il présente cette idée sur une Peugeot type 160.

En 1919, Henri Labourdette adapte ce style à la 10HP type A.

Ce prototype annonce la B2 Caddy de 1922.

La Caddy est une version poussée et allégée de la B3 de série.
Cette voiture sportive pouvait être utilisée aussi couramment que la B3.
Cette torpédo genre Skiff est une 5 places avec pointe AR en bateau, ailes AV et AR en hélice relevées vers l'extérieur, parebrise fixé en coupe-vent très bas. Ces éléments de style lui donnent une ligne très séduisante. Son élégance lui valut les faveurs de Mistinguett comme voiture personnelle.

Une capote permet de s'abriter par mauvais temps.

 

1919 La Citroën Type A

1919 - 1921 La Citroën Type A

Le 01/01/1919

L’âge de la tôle et du nickel: Les Vintages

L’essence et les matières premières sont chères. Mais pour rebondir, l’industrie européenne anéantie par la guerre s’organise en série, enrichit ses méthodes de fabrication, se taylorise, réduit le nombre de modèles.

Au lendemain de la guerre, André Citroën n’était pas un novice en automobile. En 1913, il relevait la firme Mors qu’il équipa de gros moteurs sans soupapes Minerva-Knight. Il fondait aussi la firme des engrenages à chevrons.

La Type A

En lançant la Type A, en juin 1919 une automobile « Prête à rouler», c’est une révolution commerciale qu’André Citroën met en place : Réseau de distribution et d’après-vente, pièces de rechange, crédit, signalisation routière, taxis, jouets…
La type A, dite 10cv,  est inspirée de la Zèbre de Jules Salomon, inventeur de la voiture légère.
Son prix de lancement, 7 950 francs, est exceptionnellement bas pour l’époque.

 

 

Citroën Type A 10HP

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