1967 camions citroen belphegor 1

1967 Camions Citroën 350 à 800

Le 02/01/1967 0

Dans Citroën à collectionner

En 1967, Citroën offre une gamme complète de 2,5 t. à 11 t. de charge utile, les 350, 370, 450, 600, 700 et 800.

Différents empattements, moteurs, boites de vitesses et couples sont proposés dans chaque tonnage. Ceci permet un choix précis pour chaque besoin.

Certains avantages techniques qu'ils sont seuls à posséder confèrent à ces camions une tenue de route remarquable mais, plus encore, c'est leur très grande robustesse qui est leur première qualité.

Très confortables, conçus en fonction de l'intensité du trafic, les camions Citroën autorisent une rotation plus rapide, donc un haut rendement.

Un freinage du type DS

Une utilisation plus intensive et l'augmentation des charges nécessitent un freinage plus efficace et plus sûr. Citroën a choisi le freinage du type DS système déjà longuement éprouvé.
Il est assisté et automatiquement réparti entre l'avant et l'arrière en fonction des variations de la charge.
Les positions respectives de la pédale d'accélérateur et du champignon de frein placé plus bas raccourcissent le geste du conducteur, donc la distance de freinage. ll existe en outre diverses sécurités qui font la supériorité de ces camions : accumulateur haute pression qui constitue une importante réserve de coups de frein, 2. Circuits hydrauliques indépendants, témoin lumineux de la baisse de pression, grande surface des garnitures de freins, tambours munis d'ailettes de refroidissement, etc...
Pour les 600, T00, 800 et tracteur : témoin lumineux prévenant de l'usure des garnitures de frein.

1967 camions Citroën belphegor

Une Suspension nouvelle et une meilleure tenue de route

Suspension et tenue de route sont des domaines où Citroën a toujours dominé ; la nouvelle suspension de ses camions est une solution neuve, mais mille fois testée. Elle est assurée è l'avant par des ressorts à lames semi-elliptiques et à l'arrière par des ressorts a lames semi- elliptiques auxquelles s'ajoutent des ressorts compensateurs. Des amortisseurs efficaces assurent une parfaite stabilité du chargement (qualité essentielle pour les brasseurs ou les laitiers par exemple).

Pour les Citroen 450, 600, 700, 800 et le tracteur T00, une amélioration sensible réside dans l'excellent contrôle de cette suspension par des amortisseurs à action variable en fonction de la charge. Un levier relié au châssis modifie l'effort de l'amortisseur et conditionne le comportement de la suspension.

Cette nouvelle suspension et le freinage automatiquement réparti dotent les camions Citroën d'une excellente tenue de route, à vide comme en charge.

1967 Camions Citroën belphegor Habitacle
1967 Camions Citroën châssis

Facilité d'entretien et des réparations

L'accessibilité immédiate des organes mécaniques permet un entretien aisé des camions, donc une durée d'immobilisation réduite. La dépose du moteur s'effectue par l'avant et sans démontage de la cabine, ni de l’essieu avant, sans même l'emploi d'une fosse. Il en est de même pour la dépose de la boite de vitesse. Une trappe dans le plancher donne accès à la commande de l'embrayage, au dispositif de commande des freins et au boitier de direction.
Aucune mécanique n'est emprisonnée.

1967 Citroën belphegor Depose moteur

1967 Catalogue camions Citroën 350, 370, 450, 600, 700 et 800

1967 catalogue camions Citroën 1 sur 3

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1967 catalogue camions Citroën gamme 350 a 450 2 sur 3

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1967 catalogue camions citroen gamme 600 a 800 3 sur 3

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1931 - 1977 Les autocars des Transports Citroën

1931 - 1977 Les autocars des Transports Citroën

Le 01/01/1931

La création des Transports Citroën

André CITROEN, premier constructeur européen d’automobiles, lance sa division poids-lourds en octobre 1926 avec la B15 qui offre pour la première fois une charge utile de 1000 kg.
Puis pour le déplacement de passagers, André Citroën crée les Transports Citroën le 27 octobre 1931 .
PauI JOSEPH prend sa direction et va développer  ses  propres réseaux (28 sur toute la France) dont le principal est celui de Paris. Installé en août 1932, il comptait près de 300 voitures, 58 lignes, dont 8 grandes…

1924 1926 Les Citroën B10 et B12 Tout Acier

1924 - 1926 Les Citroën B10 et B12 "Tout Acier"

Le 01/01/1924

En octobre 1924, au salon de Paris, Javel est à I'heure du “tout-acier". Citroën joue la carte du progrès technologique et présente ses premières carrosseries «Tout acier» sur des châssis B 2, qui prend pour la circonstance la désignation de B 10. Leur carrosserie entièrement métallique était faite de quatre éléments emboutis à froid assemblés par soudure.
Livrable sous la forme de torpédo ou de conduite intérieure, la Tout Acier offrait en cas de choc une grande résistance.

La “Tout acier” était robuste, facile à utiliser et offrait un maximum de confort. Grâce à elle, Citroën popularise la conduite intérieure (en 1919, 80 % des voitures particulières étaient ouvertes ; en 1930, grâce à ce nouveau type de construction, 90 % d'entre elles étaient fermées). La conduite intérieure détrône le torpédo.

A partir de la B 10, toutes les Citroën seront des tout-acier. 

Elle servit de transition entre la «B 2» et les «B 12›› et sa production atteignit en 1926 le chiffre de 100 véhicules par Jour.

D’octobre 1924 à décembre 1925, 17 259 exemplaires de B 10 furent fabriqués.

1922 - 1926 Citroën 5CV type C

1922 - 1926 Citroën 5CV type C

Le 01/02/1922

La type A puis la B 2 étaient des voitures à 4 places correspondant à la fois aux besoins et aux moyens de la plupart des automobilistes français de l'époque.

Mais André Citroën pensait à la clientèle au budget limité et aux débutants dans la conduite dont les femmes et les jeunes. Ainsi naquit, en 1922, la 5 CV.

1922 - 1923 Citroën B2

1922 - 1923 Citroën B2 "Caddy"

Le 01/01/1922

En 1913, Le carrossier Henri Labourdette, 35 avenue des Champs Elysées, déposait son brevet SGDG de skif-torpédo à ailes en hélice, mariage des technologies nautique et automobile. Il présente cette idée sur une Peugeot type 160.

En 1919, Henri Labourdette adapte ce style à la 10HP type A.

Ce prototype annonce la B2 Caddy de 1922.

La Caddy est une version poussée et allégée de la B3 de série.
Cette voiture sportive pouvait être utilisée aussi couramment que la B3.
Cette torpédo genre Skiff est une 5 places avec pointe AR en bateau, ailes AV et AR en hélice relevées vers l'extérieur, parebrise fixé en coupe-vent très bas. Ces éléments de style lui donnent une ligne très séduisante. Son élégance lui valut les faveurs de Mistinguett comme voiture personnelle.

Une capote permet de s'abriter par mauvais temps.

 

1919 La Citroën Type A

1919 - 1921 La Citroën Type A

Le 01/01/1919

L’âge de la tôle et du nickel: Les Vintages

L’essence et les matières premières sont chères. Mais pour rebondir, l’industrie européenne anéantie par la guerre s’organise en série, enrichit ses méthodes de fabrication, se taylorise, réduit le nombre de modèles.

Au lendemain de la guerre, André Citroën n’était pas un novice en automobile. En 1913, il relevait la firme Mors qu’il équipa de gros moteurs sans soupapes Minerva-Knight. Il fondait aussi la firme des engrenages à chevrons.

La Type A

En lançant la Type A, en juin 1919 une automobile « Prête à rouler», c’est une révolution commerciale qu’André Citroën met en place : Réseau de distribution et d’après-vente, pièces de rechange, crédit, signalisation routière, taxis, jouets…
La type A, dite 10cv,  est inspirée de la Zèbre de Jules Salomon, inventeur de la voiture légère.
Son prix de lancement, 7 950 francs, est exceptionnellement bas pour l’époque.

 

 

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